des petits hommes verts et de nos vrais dangers
(Publié déjà le 1er décembre 2005 dans mon blog Mein privater Garten, blog ayant une fausse alerte virus (voir ici l’explication). Donc voici sa copie dans ce journalier):
Cela fait un bail que je me suis occupée d’OVNI. Pour moi le dossier était clos il y a … oh, des années. Puisqu’ils ne viennet jamais, puisque tout le monde répond toujours la meme chose, c’est vraiment perdre son temps de s’occuper de cela … de tout façon, je n’avais jamais accepté qu’ ‘ils’, s’ils existent, ne se montrent pas … donc faisons quelque chose de valable sur cette terre, c’est le seul effort qui vaille. Tel est toujours mon attitude. Non, on ne me ferra plus marcher …
Et voilà qu’une réflexion attire mon attention: la grande différence qui pourrait exister entre ‘eux’ et nous. Une différence tellement plus foudroyant, qu’on serait cloué sur place …
… si, justement, j’avais ces idées depuis quelques semaines de plus en plus fortes … j’imaginais non plus des différences techniques, qu’on pourrait encore absorber. Par exemple, si on tombait dans le monde de Star Trek Voyager, qui joue autour de l’année 2400 et quelques, où Hollywood nous sert l’histoire d’un vaisseau rentrant vers la terre à partir d’une distance de 70 années lumières … si si, à ces différences techniques on s’y ferra, plein de joujoux fantastiques mais immaginables. Car le comportement des hommes dans Star Trek reste dans ce que nous connaissons très bien.
Non, il y a quelque temps j’avais immaginé – au milieu de la nuit – tout un coup, la chose la plus dure pour moi, que je serais plongé soudainement dans une civilisation extraterrestre ou TOUT est servit par de la technique, et qu’est-ce que fait l’humain? Mais pour se développer quand-meme et ne pas rester dans ses pantoufles à moisir, si tout est livré gratuitement, on invente une société de jeux. Des jeux donnant constamment un challenge aux humains, ou constamment on joue, pas pour la vie, on est civilisé, mais pour l’honneur de gagner.
Et là, je l’avoue, je me suis senti totalement dépassée. Je m’imaginais tout un coup de ne jamais etre capable de suivre, et de loin, pour y avoir ma place. Je m’imaginais tout un coup, comment dans mon enfance je n’avais PAS EU LE DROIT de faire ceci ou cela, parce que cela ne se faisait pas, surtout pour une fille.
Je me suis rendu compte que non seulement nous ne développons pas nos jeunes, enfin, beaucoup ne le font pas, mais aussi, toujours, qu’on les en empeche activement, surtout les filles (je ne pense pas spécialement à l’Afghanistan, il y en a de plus proche, et de plus subtile).
Oui, meme de nos jours, pour beaucoup de parents, il est plus important que les enfants se conduisent pour MAINTENIR la société telle qu’elle est, avec tous ses défauts, que d’apprendre à aller au delà … ces parents ne peuvent meme pas se l’imaginer.
Peut-etre ils craignent d’etre battus par le diable, s’ils le faisaient: préparer leurs enfants à aller au-delà de ce que nous sommes actuellement.
Donc, sur ces pensées lugubres que je remachait secrètement, je tombe sur un site – reçu par des amis – qui parle exactement de cela: du décalage entre une civilisation extraterrestre et nous.
Le site: http://www.jp-petit.com/OVNIS/seval.htm
On peut aussi écouter Christel Seval (26,3 mégas / 56 minutes): Intervention de Christel Seval, 2005 …
Update Janvier 2014: bon, ces files n’existent plus depuis 2005, mais maintenant vous pouvez trouver Christel Seval sur YouTube-search …
———————
(aussi à vérifier): Vous pouvez commander l’ouvrage concerné “Contact et Impact” (paru le 15 février 2006) en envoyant un chèque ou un virement postal de 25 euros (21 euros pour le livre plus 4 euros pour les frais de port) aux éditions JMG, 8 rue de la Mare, 80290 AGNIERES.
Pour les libraires : (ISBN 2-915164-24-X). Tél éditeur : 03 22 90 11 03 Fax : 03 22 90 17 28.